
Idées, rêves et anecdotes animent notre quotidien. Souvent, on les garde pour nous. Parfois, on a besoin de les partager. Et quand toute une histoire prend forme dans notre esprit, l’envie de la raconter peut nous faire franchir le cap : de rêveur, on devient écrivain.
C’est de cette manière que naissent la plupart de mes récits. Ce n’est pas moi qui cherche l’histoire, mais l’histoire qui me trouve.
« Eh ! Regarde-moi, je suis une idée à écrire ! » (il y a des voix dans ma tête : les miennes, celles des autres, et parfois aussi celles de mes idées).
Raconter, lentement, par écrit, me permet d’approfondir et d’en apprendre plus sur ces bulles d’inspiration, avant qu’elles ne m’échappent. A contrario, j’ai beaucoup de mal à écrire sous la contrainte (pas d’une arme, je vous vois venir). Je préfère laisser mon imaginaire travailler en arrière-plan plutôt que de m’en saisir et d’inventer de façon volontaire. Je reconnais que c’est un exercice que je ne maîtrise pas !
Et vous, alors ? Vous écrivez pour raconter, ou vous racontez pour écrire ?
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